L'harpagophytum : un traitement adapté aux animaux    

    


    

    








 
























L'harpagophytum et animaux : comment ça marche ? 

course chevaux d'obstacles

Les douleurs articulaires chez les animaux domestiques tels que le chien ou le cheval peuvent avoir deux origines différentes :

 -Les premières sont directement liées à l'âge de l'animal (l'arthrose) et,

-les secondes sont causées par un traumatisme dû à une chute ou un mauvais mouvement (rhumatisme, blessures, tendinite).

Les douleurs de l'arthrose sont chroniques et récurrentes. Lorsque nos animaux vieillissent, leurs articulations se dégénèrent progressivement. Cela se traduit par un durcissement, une ankylose et la boiterie.

Cette maladie est douloureuse et peut causer à long terme, l'immobilité totale du membre et une grande difficulté à se déplacer. Comme l'animal va éviter autant que possible de solliciter l'articulation malade, la principale conséquence directe de l'arthrose est l'atrophie musculaire.

On parle aussi de « fonte » due à un manque d'exercices. Néanmoins, celle-ci n'apparaît que durant la phase très avancée stade 3 de la maladie.

Les rhumatismes ou tendinites touchent fortement les chiens sportifs ou les chevaux de compétition.

En général, ces douleurs ne sont que passagères. Lorsqu'elles sont bien prises en charge, le rétablissement peut être total.

L'observation de la démarche et la palpation des membres de l'animal permettent de se faire un diagnostic. Le plus souvent, il refuse de faire des exercices habituels. Il arrive cependant que l'on ne constate le problème qu'aux gémissements de l'animal. Il peut également arriver que le chien ou le cheval, aussi docile soit-il, change de comportement et devienne agressif.

Dans les deux cas, on peut soigner son compagnon avec des exercices de rééducation, une alimentation équilibrée et un traitement médicamenteux adapté.

L'intérêt de l'harpagophytum pour les chiens & chevaux

Les douleurs causées par l'arthrose chez nos animaux de compagnie ou nos animaux de ferme peuvent quand même être soulagées.

Dans certains cas, on peut même espérer une amélioration de la mobilité du membre touché.

La phytothérapie est le meilleur choix notamment avec l'harpagophytum qui est le soin anti-inflammatoire et antalgique le plus populaire et le plus couramment utilisé chez les humains comme chez les animaux.

Ce traitement 100% naturel très couramment utilisé dans le monde entier est réputé pour être sans effets secondaires. En décortiquant sa composition, on peut observer que ce remède synthétise de nombreuses molécules d'oméga 3 et 6 ainsi que des chondroprotectrices.

Les prescriptions du vétérinaire sont réalisées au cas par cas. Elles peuvent faire l'objet d'un réajustement si besoin afin de trouver la dose minimale qui produirait l'effet recherché. Généralement, il s'agit d'un traitement naturel évolutif en 3 phases :


- Un traitement d'attaque pour pallier rapidement les douleurs en début d'inflammation
- traitement curatif qui se poursuivra jusqu'au rétablissement complet
- traitement préventif sur le long terme pour éviter que la maladie ne devienne chronique

Quant à la posologie, elle varie selon l'âge, mais également le poids du chien. Un gros chien de 20 kg devra prendre 3 gélules par jour pendant 2 semaines durant la phase d'attaque. Puis, on réduira le dosage à une gélule par jour pendant 6 semaines pour la guérison et enfin 3 prises par semaines pour retrouver un train de vie « normal ».

L'harpagophytum a également beaucoup de succès auprès des éleveurs de chevaux. C'est à la fois un formidable anti-inflammatoire et un antidouleur pour résorber rapidement la raideur.

Comme c'est un traitement réputé pour sa puissance, il peut également convenir aux chevaux à condition d'adapter son dosage. La forme la plus adaptée à la race hippique est la poudre vendue avec une dosette spéciale.

Il faut 50 grammes par prise à déverser dans la ration quotidienne d'un cheval adulte pour obtenir de l'effet. Mais en cas de crise aiguë, vous pouvez doubler la dose en veillant bien à ne pas dépasser 100 g par jour.

Réduisez la dose à 25 g par jour pour un poney ou un poulain qui souffre d'une boiterie importante. Dans tous les cas, le traitement doit être poursuivi à long terme avec une coupure de 15 jours après 2 ou 3 mois de traitement.